Le siège du groupe, qui se répartit entre Paris, Londres et Bruxelles, va être restructuré. 618 salariés sont concernés, dont 416 postes pour la France. La CGT évoque même un total de 600 salariés pour l’Hexagone, 200 postes n’ayant pas été pourvus. Engie a annoncé ce plan au mois d’avril, mais prévoit aussi la création de 114 postes.
Ce n’est pas le seul changement que l’entreprise compte impulser pour réduire ses effectifs, qui se montent à 25 000 postes en France dans la partie « Énergie ». En juin 2016, le syndicat parlait déjà de 950 emplois qui seront supprimés d’ici 2018, et notamment 750 pour la France. Les relations clientèle devraient ainsi subir une perte de 800 salariés (dont 600 pour les particuliers, le reste pour les entreprises).
20% de cette activité devraient être externalisés ou délocalisés à l’étranger, au Maroc, à l’île Maurice et au Portugal, assure la CGT. Par ailleurs, le syndicat annonce des suppressions d’emplois dans l’informatique, le négoce, l’exploration production ainsi que chez Storengy, l’opérateur de stockage, pour un total de 500 postes. En tout, ce sont 10 000 salariés dans le monde qui pourraient être touchés.
Ce n’est pas le seul changement que l’entreprise compte impulser pour réduire ses effectifs, qui se montent à 25 000 postes en France dans la partie « Énergie ». En juin 2016, le syndicat parlait déjà de 950 emplois qui seront supprimés d’ici 2018, et notamment 750 pour la France. Les relations clientèle devraient ainsi subir une perte de 800 salariés (dont 600 pour les particuliers, le reste pour les entreprises).
20% de cette activité devraient être externalisés ou délocalisés à l’étranger, au Maroc, à l’île Maurice et au Portugal, assure la CGT. Par ailleurs, le syndicat annonce des suppressions d’emplois dans l’informatique, le négoce, l’exploration production ainsi que chez Storengy, l’opérateur de stockage, pour un total de 500 postes. En tout, ce sont 10 000 salariés dans le monde qui pourraient être touchés.